Influencer la production de dopamine: examen des additifs
I. Neurobiologie de la dopamine: rôle clé dans la motivation, le plaisir et bien plus encore
La dopamine, souvent appelée «l’hormone du plaisir», est un neurotransmetteur qui joue un rôle essentiel dans de nombreux aspects du comportement humain et des fonctions cognitives. Sa synthèse, sa libération et sa disposition sont un processus complexe et dynamique, qui est affecté par la génétique, l’environnement et l’alimentation. Comprendre ces mécanismes est nécessaire pour évaluer les effets potentiels des additifs sur le système dopaminergique.
A. Synthèse de la dopamine: de la l-grosine à la dopamine
La synthèse de la dopamine commence par la tyrosine L acide aminé, qui pénètre dans le corps avec des aliments ou synthétisé à partir de la phénylalanine. La L-tyrosine est transportée vers les neurones dopaminergiques par une barrière hématoencale. À l’intérieur du neurone, la L-tyrosine est convertie en L-DOF (L-dihydroxiphénylalanine) par un fertrent atteint de tyrosinehydroxylase (TH). C’est la vitesse de l’enzyme limite dans la synthèse de la dopamine, ce qui signifie que son activité détermine la vitesse à laquelle la dopamine peut être produite. Ensuite, la Dofe est convertie en dopamine par l’enzyme par les décarboxylais des acides Amino aromatiques (AADC), également connue sous le nom de DOPA-décarboxylase. Ce processus se produit dans le cytoplasme des neurones dopaminergiques.
B. Libération de la dopamine: transmission synaptique et récepteurs
Après la synthèse, la dopamine est emballée dans des vésicules au moyen d’un convoyeur vésiculaire de monoamines 2 (VMAT2). VMAT2 protège la dopamine de la destruction par les enzymes du cytoplasme, telles que la monoaminéxidase (MAO) et le catéchol-o-méthyltransférase (COMT). Lorsque le neurone est dépolarisé, les vésicules fusionnent avec la membrane présynaptique et libèrent la dopamine dans un écart synaptique.
La dopamine libérée est associée aux récepteurs de la dopamine sur le neurone postsynaptique. Il existe cinq principaux types de récepteurs de dopamine indiqués par D1-D5. Ils appartiennent à deux familles principales: comme D1 (D1 et D5) et D2 (D2, D3 et D4). Les récepteurs de type D1, en règle générale, sont associés à l’activation de l’adénilatziclase et à une augmentation des niveaux de CAMF (adénosinomonophosphate cyclique), ce qui conduit à des effets passionnants. Les récepteurs de type D2, en règle générale, sont associés à l’inhibition de l’adénilatziclase et à une diminution des niveaux de CAMF, ce qui conduit à des effets inhibiteurs. Divers types de récepteurs de la dopamine sont situés dans différentes zones du cerveau et remplissent différentes fonctions. Par exemple, les récepteurs D2 jouent un rôle important dans la motivation, le plaisir et le contrôle moteur, tandis que les récepteurs D4 participent aux processus cognitifs.
C. Métabolisme et ré-absorption de la dopamine: terminaison et recirculation du signal
Une fois la dopamine a contacté les récepteurs, il doit être retiré de l’espace synaptique pour arrêter le signal. Cela se produit de deux manières principales:
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Absorption répétée: Le convoyeur de dopamine (DAT) sur le neurone présynaptique réabdit la dopamine de l’écart synaptique vers le neurone. Il s’agit du principal mécanisme pour éliminer la dopamine et permet au neurone de ré-utiliser la dopamine.
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Métabolisme par les enzymes: La dopamine peut également être métabolisée par les enzymes MAO et COMT. Le MAO, situé à l’intérieur et à l’extérieur des neurones, oxyde la dopamine à l’acide dihydroxyphéniluxique (DOPAC). Comt, situé dans l’espace synaptique et dans les cellules gliales, mètres dopamine à la 3-méthoxitiamine (3-MT). Le DOPAC et le 3-MT sont en outre métabolisés en acide homovanilique (HVA), qui est le principal métabolite de la dopamine mesuré dans le liquide céphalorachidien et l’urine.
D. chemins dopaminergiques: principaux centres et fonctions
Les neurones dopaminergiques forment plusieurs chemins de base dans le cerveau, chacun qui remplit diverses fonctions:
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Chemin nigrostrian: Ce chemin est projeté de la substance noire dans un corps rayé et est impliqué dans le contrôle du moteur. La dégénérescence des neurones dopaminergiques dans ce chemin est la principale cause de la maladie de Parkinson.
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Chemin mésencéphalique: Ce chemin est projeté de la région ventrale du pneu (VTA) à Nucleus accumbens, le corps en forme d’amande et l’écorce préfrontale. Il joue un rôle important dans la motivation, le plaisir, la récompense et les dépendances.
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Chemin tuberoinfundibulaire: Ce chemin est projeté de l’hypothalamus à l’hypophyse et régule la libération de la prolactine.
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Message mésencéphalique vers l’écorce: Ce chemin est projeté de VTA à l’écorce préfrontale et est impliqué dans les fonctions cognitives, telles que l’attention, la mémoire de travail et la prise de décision.
Ii Facteurs affectant les niveaux de dopamine: l’interaction de la génétique, du mode de vie et du régime alimentaire
Les niveaux de dopamine ne sont pas fixes et sont constamment modulés par divers facteurs internes et externes. Comprendre ces facteurs est crucial pour le développement de stratégies visant à optimiser la fonction de dopamine.
A. Facteurs génétiques: l’effet des gènes sur le système dopaminergique
La génétique joue un rôle important dans la détermination de la variabilité individuelle du système dopaminergique. Les polymorphismes dans les gènes codant pour les enzymes de synthèse de la dopamine (TH, AADC), les convoyeurs (DAT, VMAT2) et les récepteurs (D1-D5) peuvent affecter les niveaux de dopamine, la sensibilité aux récepteurs et la sensibilité aux troubles mentaux.
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Gene Polymorphis DAT1: Le gène DAT1 est codé par le convoyeur de dopamine. Les variations dans ce gène, telles que le polymorphisme VNTR (Nombre variable en tandem) dans le 3′-non-sens, sont associées à des différences d’expression de DAT et, par conséquent, dans les niveaux de dopamine dans l’espace synaptique. Certaines options sont associées à un risque accru de TDAH (syndrome du déficit de l’attention), tandis que d’autres sont associés à une résistance accrue à la dépendance.
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Polymorphismes du gène DRD2: Le gène DRD2 code pour le récepteur de la dopamine D2. Le polymorphisme de Taqia, situé à côté du génome DRD2, est associé aux différences de densité du récepteur D2 dans un corps rayé. Les personnes atteintes d’allèles A1 Taqia ont souvent une densité plus faible de récepteurs D2 et peuvent être plus sensibles aux dépendances et aux comportements impulsifs.
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Polymorphismes comt gène: Le gène COMT code pour l’enzyme du catéchol-o-o-méthyltransfertaz. Le polymorphisme valide / méthyl (VAL158MET) dans le gène COMT affecte l’activité de l’enzyme. L’allèle méthyle entraîne une diminution de l’activité du COMT, ce qui entraîne des niveaux plus élevés de dopamine dans l’écorce préfrontale. Les personnes atteintes d’un allèle méthyle peuvent avoir des fonctions cognitives améliorées, mais peuvent également être plus sensibles à l’anxiété et au stress.
B. Facteurs de vie de la vie: sommeil, exercices physiques, stress et interactions sociales
Les facteurs de style de vie de la vie ont un effet profond sur la fonction de la dopamine. L’optimisation de ces facteurs peut améliorer les niveaux de dopamine et le bien-être global.
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Rêve: Le manque chronique de sommeil peut entraîner une diminution des niveaux de dopamine et une diminution de la sensibilité des récepteurs de la dopamine. Un sommeil adéquat est nécessaire pour maintenir la fonction optimale de la dopamine. Pendant le sommeil, le cerveau nettoie les déchets métaboliques, y compris les produits de métabolisme de la dopamine et restaure le système dopaminergique.
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Exercice: Les exercices physiques, en particulier les exercices aérobies, augmentent la libération de la dopamine et augmentent la sensibilité des récepteurs de la dopamine. Les exercices peuvent également améliorer l’humeur, réduire le stress et améliorer les fonctions cognitives, en partie en raison de leur impact sur le système dopaminergique.
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Stresser: Le stress chronique peut épuiser les réserves de dopamine et réduire la sensibilité des récepteurs de la dopamine. Le stress chronique active le système de réaction de stress, qui comprend la libération de cortisol. Le cortisol peut inhiber la synthèse de la dopamine et augmenter la destruction de la dopamine. Les méthodes de gestion du stress, telles que les techniques de méditation, de yoga et de sensibilisation, peuvent aider à adoucir l’impact négatif du stress sur la fonction de dopamine.
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Interactions sociales: Les interactions sociales et les relations positives peuvent stimuler la libération de la dopamine et augmenter le sens du plaisir et de la satisfaction. L’isolement social et la solitude, en revanche, peuvent entraîner une diminution des niveaux de dopamine et une augmentation du risque de dépression et d’anxiété.
C. Facteurs alimentaires: prédécesseurs, nutriments et effet de l’alimentation sur la synthèse de la dopamine
Le régime alimentaire joue un rôle important en fournissant au corps les éléments constitutifs nécessaires pour la synthèse de la dopamine. La consommation d’un nombre suffisant de prédécesseurs de dopamine et d’autres nutriments nécessaires peut soutenir la fonction optimale de la dopamine.
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L-tyrosine et phénylalanine: La L-tyrosine est un prédécesseur direct de la dopamine, et la phénylalanine peut être transformée en L-tyrosine. Les produits riches en L de type L et phénylalanine comprennent la viande, le poisson, les œufs, les produits laitiers, les noix, les graines et les légumineuses. Bien que l’ajout de type L puisse augmenter les niveaux de dopamine, en particulier dans les conditions de contrainte, il est important de noter que les doses importantes peuvent interagir avec certains médicaments.
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Vitamines et minéraux: Plusieurs vitamines et minéraux sont nécessaires pour la synthèse de la dopamine et des enzymes.
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Fer: Le fer est un cofacteur de l’enzyme de la tyrosinehydroxylase (TH), qui catalyse la vitesse du stade limitant dans la synthèse de la dopamine. La carence en fer peut aggraver la synthèse de la dopamine et entraîner des symptômes tels que la fatigue, une diminution des fonctions cognitives et de la dépression.
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B Vitamines: Les vitamines B, en particulier la vitamine B6 (pyridoxine), la vitamine B9 (FOLAT) et la vitamine B12 (cobalamine), sont nécessaires au travail de diverses enzymes impliquées dans la synthèse de neurotransmetteurs, y compris la dopamine. La carence de ces vitamines peut aggraver la synthèse de la dopamine et conduire à des symptômes neurologiques et psychiatriques.
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Vitamine C: La vitamine C est un antioxydant qui peut protéger les neurones dopaminergiques contre les dommages oxydatifs. Il peut également jouer un rôle dans la conversion de la dopamine en noradrénaline.
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Magnésium: Le magnésium est impliqué dans de nombreuses réactions enzymatiques dans le cerveau, y compris la synthèse de neurotransmetteurs. La carence en magnésium peut aggraver la fonction de la dopamine et contribuer à l’anxiété, à la dépression et à d’autres symptômes neurologiques.
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Antioxydants: Le stress oxydatif peut endommager les neurones dopaminergiques et aggraver la fonction de dopamine. Une alimentation riche en antioxydants peut aider à protéger le cerveau contre les dommages oxydatifs. Les bonnes sources d’antioxydants comprennent les fruits, les légumes, les baies et le thé vert.
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Sucre et produits transformés: Une consommation excessive de sucre et de produits transformés peut entraîner des émissions de dopamine, derrière laquelle une forte chute devrait être, ce qui peut entraîner une poussée et un comportement dépendant. La consommation chronique de sucre peut également contribuer à la résistance et à l’inflammation de l’insuline, ce qui peut aggraver la fonction de la dopamine.
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Graisses saines: Des graisses saines, telles que les acides gras oméga-3, sont nécessaires pour la structure et les fonctions des membranes cellulaires dans le cerveau. Les acides gras oméga-3 peuvent améliorer la fonction des récepteurs de la dopamine et protéger contre les maladies neurodégénératives.
Iii. Examen des additifs affectant les niveaux de dopamine: données scientifiques et avantages potentiels
De nombreux additifs sont vendus comme produits pour améliorer les niveaux de dopamine et améliorer l’humeur, la motivation et les fonctions cognitives. Il est important d’évaluer les données scientifiques confirmant ces déclarations et de prendre en compte les risques potentiels et les effets secondaires avant de prendre des additifs.
Prédécesseurs de A. Dopamine:
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L-Tyrosine: Comme mentionné précédemment, la L-tyrosine est un prédécesseur direct de la dopamine. Certaines études ont montré que l’ajout de type L peut améliorer les fonctions cognitives et réduire le stress dans les situations stressantes. Cependant, des études supplémentaires sont nécessaires pour bien comprendre l’efficacité et la sécurité du type L. La posologie est généralement de 500 mg à 2 g par jour.
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L-Dopa (Fuch Mukuna): La combat de Mukuna est une plante de haricots tropicaux, qui est une source naturelle de L -DOF. L-DOFA est converti en dopamine dans le cerveau. Le mukuna brûlant est traditionnellement utilisé en médecine ayurvédique pour traiter la maladie de Parkinson et d’autres troubles neurologiques. Des études ont montré que la combustion de Mukun peut être aussi efficace que la dofe en L synthétique, dans le soulagement des symptômes de la maladie de Parkinson, mais avec moins d’effets secondaires. La posologie varie en fonction de la concentration de L-DOF dans l’extrait, mais généralement de 5 à 15 grammes de poudre de graines.
B. Inhibiteurs Mao (monaminoxy):
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Seiziline: La sélégiline est un inhibiteur sélectif du MAO-V, qui bloque une enzyme qui décompose la dopamine dans le cerveau. Il est utilisé pour traiter la maladie et la dépression de Parkinson. La sélégiline peut augmenter les niveaux de dopamine et améliorer les fonctions motrices et l’humeur. Il s’agit d’un médicament sur ordonnance, et il ne doit être utilisé que sous la supervision d’un médecin.
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Rasagilin: La rasagiline est un autre inhibiteur sélectif de MAO -B reproducteur utilisé pour traiter la maladie de Parkinson. Il agit de manière similaire à la sélégiline, augmentant les niveaux de dopamine dans le cerveau. Comme la sélégiline, la rasagiline est un médicament sur ordonnance et nécessite une observation médicale.
C. Inhibiteurs naturels de MAO:
Certains composés naturels ont des propriétés inhibiteurs, bien que leur efficacité puisse être moins puissante que celle des produits pharmaceutiques.
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Curcumine: La kurkumin est le principal composant actif du curcuma, les épices généralement utilisées dans la cuisine indienne. La kurkumin a montré les inhibiteurs des propriétés MAO-A et MAO-in in vitro et in vivo. Il possède également des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires qui peuvent protéger les neurones dopaminergiques. La posologie est généralement de 500 mg à 2 g par jour.
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Resvératrol: Le resvératrol est un polyphénol contenu dans le vin rouge, les raisins et les baies. Il a montré les inhibiteurs des propriétés MAO-A et MAO-in in vitro et in vivo. Le resvératrol possède également des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires. La posologie est généralement de 150 à 500 mg par jour.
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Thé vert (EGCG): Le thé vert contient une épallocatéchine-3-Llat (EGCG), qui a montré l’inhibition des propriétés MAO-in in vitro. L’EGCG possède également des propriétés antioxydantes et neuroprotectrices. La posologie varie généralement de 300 à 500 mg d’EGKG par jour.
D. Agonistes de dopamine:
Ces additifs stimulent directement les récepteurs de la dopamine, simulant l’effet de la dopamine.
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Pramipksol: Pramipksol est un agoniste des récepteurs de la dopamine D2 / D3, utilisés pour traiter la maladie de Parkinson et le syndrome des jambes sans repos. Il se lie aux récepteurs de la dopamine et les active, simulant l’action de la dopamine. Pramipksol est un médicament sur ordonnance et il ne doit être utilisé que sous la supervision d’un médecin.
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Ropinirol: Le ropinirol est un autre agoniste des récepteurs de la dopamine D2 / D3, utilisés pour traiter la maladie de Parkinson et le syndrome des jambes sans repos. Il agit de manière similaire au pramipxol, stimulant les récepteurs de la dopamine. Le ropinirol est un médicament sur ordonnance et nécessite une observation médicale.
E. additifs affectant d’autres neurotransmetteurs qui affectent indirectement la dopamine:
Certains additifs affectent principalement d’autres neurotransmetteurs, mais peuvent indirectement affecter la fonction de dopamine.
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Ashwaganda: Ashvaganda est l’herbe ayurvédique utilisée pour réduire le stress et l’anxiété. Ashvaganda peut moduler les niveaux de GABA (acide gamma-aminomatique), neurotransmetteur, qui a un effet inhibiteur sur le cerveau. En réduisant le stress et l’anxiété, Ashvaganda peut indirectement améliorer la fonction de dopamine. La posologie est généralement de 300 à 500 mg par jour.
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Rodiola Pink: Rhodiola rose est l’herbe adaptogène utilisée pour réduire la fatigue et augmenter les fonctions cognitives. Rodila Pink peut augmenter les niveaux de sérotonine et de noradrénaline, des neurotransmetteurs qui interagissent avec la dopamine. Amélioration de l’humeur et réduction de la fatigue, Rhodiola Pink peut indirectement améliorer la fonction de dopamine. La posologie est généralement de 200 à 600 mg par jour.
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S-adénosylmétionine (même): Il en va de même un composé de nature, qui est impliqué dans de nombreuses réactions biochimiques dans le corps, y compris la synthèse de neurotransmetteurs. Le même peut augmenter les niveaux de sérotonine, de dopamine et de noradrénaline. Il est utilisé pour traiter la dépression et l’arthrose. La posologie est généralement de 400 à 1600 mg par jour.
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Créatine: La créatine, principalement connue pour son rôle dans le métabolisme énergétique des muscles, s’accumule en grande quantité dans le cerveau et remplit des fonctions clés pour maintenir l’énergie des neurones. La créatine augmente les niveaux de dopamine en augmentant le soutien énergétique des neurones dopaminergiques, facilitant ainsi la synthèse et la libération de la dopamine. La posologie est généralement de 3 à 5 grammes par jour.
Iv. Mesures et contre-indications de la louange: compréhension des risques et interactions
Avant de commencer à prendre des additifs, il est important de consulter un médecin, surtout si vous avez des maladies existantes ou si vous prenez des médicaments. Les ajouts peuvent interagir avec les médicaments et provoquer des effets secondaires.
A. Effets secondaires possibles:
Les effets secondaires des additifs affectant les niveaux de dopamine peuvent varier en fonction d’une sensibilité additive et individuelle spécifique. Certains effets secondaires généraux peuvent inclure:
- Nausée
- Mal de tête
- Anxiété
- Anxiété
- Insomnie
- Irritabilité
- Vertiges
- Augmentation de la tension artérielle
B. Interaction avec les médicaments:
Les additifs affectant les niveaux de dopamine peuvent interagir avec divers médicaments, notamment:
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Antidépresseurs: Les inhibiteurs de MAO et SIOS (inhibiteurs sélectifs de la capture de sérotonine) peuvent interagir avec des additifs qui augmentent la dopamine, ce qui conduit au syndrome de la sérotonine, une affection grave qui peut provoquer l’anxiété, l’excitation, la température élevée et les crises.
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Médicaments antipsychotiques: Les antipsychotiques bloquent les récepteurs de la dopamine. Prendre des additifs qui augmentent la dopamine peuvent réduire l’efficacité de ces médicaments.
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La maladie de Parkinson pour la maladie de Parkinson: Les addateurs affectant les niveaux de dopamine peuvent interagir avec les médicaments de la maladie de Parkinson, tels que le L-DOFA et les agonistes de dopamine.
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Médicaments de pression artérielle: Certains additifs qui augmentent la dopamine peuvent augmenter la pression artérielle. Cela peut interagir avec les préparations de pression artérielle et provoquer des effets indésirables.
C. contre-indications:
Certains additifs affectant les niveaux de dopamine sont contre-indiqués dans certains groupes de personnes, notamment:
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Femmes enceintes ou allaitantes: La sécurité de nombreux additifs qui augmentent la dopamine n’est pas installée chez les femmes enceintes ou allaitantes.
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Les personnes souffrant de troubles mentaux: Les adeptes affectant les niveaux de dopamine peuvent aggraver les symptômes des troubles mentaux, tels que la schizophrénie et le trouble bipolaire.
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Personnes atteintes de maladies cardiaques: Certains additifs qui augmentent la dopamine peuvent augmenter la pression artérielle et la fréquence cardiaque. Les personnes atteintes de maladies cardiaques devraient éviter ces additifs.
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Les gens prennent certains médicaments: Comme mentionné précédemment, les additifs affectant les niveaux de dopamine peuvent interagir avec divers médicaments. Il est important de consulter un médecin avant de prendre des additifs si vous prenez des médicaments.
V. Stratégies alternatives pour maintenir des niveaux de dopamine sains: approche d’un mode de vie holistique
Au lieu de s’appuyer exclusivement sur des additifs, il est important de prendre une approche holistique du mode de vie pour maintenir des niveaux de dopamine sains. Cela comprend l’optimisation du sommeil, de l’alimentation, des exercices physiques, du stress et des interactions sociales.
A. Optimisation du sommeil:
Essayez de dormir 7-9 heures la nuit. Soutenez le calendrier de sommeil cohérent, vous coucher et vous réveiller à la même heure tous les jours. Créez un rituel relaxant avant le coucher, par exemple, prenez un bain chaud, lisez un livre ou écoutez de la musique apaisante. Créez un environnement sombre, calme et cool dans la chambre.
B. alimentation saine:
Observez une alimentation équilibrée riche en fruits, légumes, céréales entières, protéines faibles en gras et graisses saines. Allumez les produits riches en L-tyrosine et phénylalanine, comme la viande, le poisson, les œufs, les produits laitiers, les noix et les graines. Obtenez une quantité suffisante de vitamines et de minéraux, en particulier le fer, les vitamines B, la vitamine C et le magnésium. Limitez la consommation de sucre, les produits transformés et les graisses malsaines.
C. Exercices physiques réguliers:
Essayez de vous engager au moins 30 minutes avec des exercices physiques d’intensité modérée pour la plupart des jours de la semaine. Choisissez des cours que vous aimez, par exemple, la marche, la course, la natation, le vélo ou la danse. Activez l’entraînement en force pendant au moins deux jours par semaine.
D. Gestion du stress:
Pratiquez des méthodes de gestion du stress, telles que la méditation, le yoga, les techniques de sensibilisation ou les exercices de respiration. Passez du temps dans la nature. Prenez un passe-temps et des cours que vous aimez. Passez du temps avec des proches.
E. Interactions sociales:
Maintenez une relation positive avec la famille et les amis. Communiquez avec d’autres personnes et participez aux activités sociales. Évitez l’isolement social et la solitude.
Après avoir accepté ces stratégies de style de vie, vous pouvez naturellement soutenir les niveaux sains de dopamine et améliorer votre puits global. Bien que les additifs puissent être utiles pour certaines personnes, ils ne doivent pas être considérés comme un remplacement pour un mode de vie sain. Consultez toujours votre médecin avant de commencer à prendre des additifs.